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-Mamie, raconte nous une histoire.
-Mmm… d’accord, je me souviens d’une histoire que ma grand-mère ma raconté quand j’avais votre âge, voici l’histoire : Il y a très longtemps, dans une contrée lointaine vivait un peuple magique dans une foret magique, car chez eux tout était magique. Ces êtres vivaient en parfaite harmonie avec les animaux magique. Les habitants de ce peuple était des gnotins, un mélange entre des gnomes, des lutins, et des schtroumpfs car ils parlaient comme eux. Un jour, un petit gnotin (petit garçon appelé ainsi par le peuple) qui s’appelait Guiné, alla jouer au ballon dans les bois avec ses amis. Ils jouaient tranquillement quand Miriamix lança maladroitement le ballon loin dans la zone interdite, une partie de la foret qui était dangereuse et où les gnotinns n’avaient pas le droit d’aller.
-Mince ! s’exclama Miriamix. Comment va-t- on faire ?
-Nous n’avons pas le choix, décida Guiné il faut aller le chercher !
-Mais on a pas le droit et puis …SI J’AURAIS SU J’AURAIS PAS VENU !!! cria Lugmix, le plus petit de la bande.
-On dira rien aux parents, dit le plus grand du groupe Grandinfix, promettez le .
-JE PROMETS. crièrent tous les gnotinns (et les gnotinnes) d’une même voix.
-Alors allons y !!! ordonna Guiné
Ils se dirigèrent alors vers le plus profond de la foret, la zone interdite. Au bout d’un moment, Bétarix cria :
-J’AI TROUVE !!!
-Mais non ! C’est le champignon Piti, le plus grand champignon qui existe et qui ne pousse que dans nos contrées. expliqua Miriamix
-MOI je l’ai trouvé ! se vanta Pistimix, la plus peste gnotinne de tout le village.
-SCHLAC,… SCHLAC,… des bruits résonnèrent faisant trembler le sol.
-HIIIII ! crièrent les deux gnotinnes
-J’AI PEUR !!! cria Lugmix Et il détalèrent en oubliant le ballon.
-AU SECOURS ? A L’AIDE !!!!! crièrent les petits en arrivant au village.
-Mais que se schtroumpf-t- il ? demandèrent les parents.
-Pourquoi schtroumpfez-vous ? demanda le chef Chifix qui arriva fatigué car il travaillait beaucoup
-On a très peur !!! répondirent les enfants pleins d’angoisses
-Mais faut rien dire ! dit Lugmix Faut pas trahir une promesse !
-Dites- le, sinon privé de dessert pour tout le monde ! répondit Sagimix, la doyenne du village
-On a perdu le ballon dans la zone interdite, on est allé le chercher et … expliqua Grandinfix spontanément pris de peur en trahissant la promesse mais qui n’eu pas le temps de finir
-QUOI ?! On vous avait schtroumpfé d’y aller !!! gronda sa mère Annarix
-Et on a entendu de gros bruits et le sol tremblait !!! continua le garçon têtu Il était vexé d’avoir été coupé mais honteux d’avoir désobéi.
-Il faut aller schtroumpfer ! décida Chifix. Les femmes et les enfants schtroumpfent au village, les autres avec moi. Ah oui, Annarix et Grandinfix vous aussi venez.
En chemin, Chifix demanda à Grandinfix où les enfants avaient eu peur. Le garçon lui montra et repartit avec sa mère. Les hommes, quand à eux, avançaient d’un pas ferme. Ils aperçurent alors le ballon et entendirent eux aussi les étranges bruits et sentirent eux aussi le sol tremblé. Malgré la peur, nos vaillants villageois continuèrent vers la provenance des bruits et virent trois géants (en vérité ce sont des humains mais ils paraissent géant de la taille des gnotins) avec des grosses machines de guerre (tronçonneuse) en train de couper les arbres de la foret. Ils réfléchirent à un plan et ne trouvant rien allèrent voir les animaux savant qui avait le don de parler pour leur demander conseil.
-Que schtroumpfe-t- il faire pour les arrêter ? demanda alors Chifix
-Il n’y a rien à faire. A par… peut-être… il faudrait essayer de se montrer mais il se pourrait que ça ne marche pas.
-Tant pis, si c’est notre seule chance, il faut essayer.
Ils se montrèrent alors et se présentèrent, leur demandèrent d’arrêter et se justifièrent. Les bucherons qui s’étaient pris de pitié arrêtèrent leur travail.
-Organisons un banquet pour fêter ça ! proposa Chifix
Les humains se construirent des maisons, invitèrent leur famille et vécurent heureux jusqu’à la fin des temps. Certaines personnes racontent qu’ils vivent encore maintenant.
-C’était trop bien. Au revoir Mamie à demain pour une nouvelle histoire.
Fin
M.K
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Il était une fois, un jeune martien qui s’appelait Gloup. Il avait la peau verte, dix yeux globuleux, trois cheveux rouge bouclés, six tentacules énormes et quatre paires de petites jambes. Il vivait à Cyclopville, qui contrairement au nom de la ville, était peuplée de martiens qui avaient plus qu’un œil. Il habitait dans une grande maison presque aussi grande qu’un palais. Il demeurait avec ses deux parents : sa mère Saturna était martienne de ménage et son père Uranain était restaurateur.
Ce jour-là, comme tous les matins, il se réveilla et se leva. Il se contenta de larves d’insectes et d’une orange rose pour son petit déjeuner. Il se prépara et pris son astrobus pour aller au collège. C’était la rentrée, il avait peur. Quand il arriva le transporteur annonça :
« Demi-tour les martiens ! Le collège est fermé pour aujourd’hui. »
Tout le monde se posa un tas de questions. Aussitôt dit aussitôt fait. Le chauffeur fit demi-tour et ramena chaque martien chez lui.
Quand Gloup rentra chez lui, il n’y avait personne. Pour se changer les idées, il alla dehors, quand tout à coup, il vit trois personnes avec de grosses combinaisons blanches, de gros casques plein de buée et munis d’appareils étranges. Un peu plus loin, il aperçut un gros engin tout blanc avec un drapeau rouge, blanc et rouge avec des étoiles. Alors il comprit pourquoi le collège était fermé à cause d’eux, car c’était dangereux. Puis le trois personnes se mirent à parler :
« Enfin arrivés ! dis une première voix. Puis une autre voix poursuivit :
-Waouh ! C’est encore mieux que dans mon rêve !
-Regarde là-bas on dirait… une sorte de maison ! intervient la dernière voix. Il pointait du doigt la maison de Gloup, Saturna et Uranain.
-Allons la voir de plus près ! proposa une voix toute excitée
-Non, non et non.lui expliqua une autre voix
-Pourquoi ? demandèrent les deux autres voix en cœur
-Parce que… imaginez que quelqu’un habite ici…lui expliqua une voix toute hésitante.
-Chic ! On va rencontrer un martien ! lui répondit une voix toujours aussi excitée
-Et puis non c’est non !
Gloup avait tout compris, il partit en courant se cacher dans sa chambre. Saturna rentra un quart d’heure plus tard et lui demanda :
-Bonsoir Gloup, tu vas bien ?
-Salut maman, euh… oui et toi ?
-Journée fatigante sinon ça allait à l’école ?
-Euh….
-Oh suis-je bête le collège était fermé aujourd’hui… »
Gloup tira sa mère vers la fenêtre et il n’y avait rien ni personne à par Uranain qui rentre du travail. Gloup se posait un tas de questions, se demandait s’il n’avait pas rêvé…mais il n’en toucha pas un mot à ses parents.
FIN
A.L.
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Un jour dans la forêts de Rouscalou, vivait une jeune fée qui était prénommée Fée des Bois. Elle était très belle et gentille, elle avait beaucoup d'amis, mais ce n'étaient que des elfes. Les fées de sont âge étaient bien trop prétencieuse à son goût.
Alors qu'un beau matin Fée des Bois était dans sa cabane, elle entendit un énorme « PAF » : c'était Dragonibus, le dragon le plus gentil de la forêt car il aidé les petits elfs à marcher. Elle sortit de sa cabane et vit toute la forêt de Rouscalou arraché :
'' Que faire ??? S'intérrogea Fée des Bois ''
Après avoir beaucoup réfléchis elle alla voir Dragonibus et lui demanda :
'' Qu' a t-il pris Dragonibus ????
- C'est Mirama et Rasboum qui me contrôle avec une puce élétronique qu'elle mon accroché dans le dos, cela peut m'arriver a nouveau a n'importe quelle moment.''
Dragonibus se mit a pleurer car il avait arrachée toute le forêt.
Fée des Boi eut une idée :
'' Et si on t'enlevait cette puce .''
-Très bonne idée
Fée des Bois retira la puc d'un coup d'ongle et demanda a Dragonibus :
'' Pourquoi ne l'as tu pas enlevé plus tôt !
-Car j'ais les doigt trop gros
-Ah ok
-Bon tout est bien qui finis bien''
Tout le petit monde repris sa vie habituelle et Rouscalou resta tranquille pour le reste de la vie.
E. K.
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L'histoire que je vais vous raconter s'est passée il y a bien longtemps. C'était durant la seconde guerre mondiale. Une flotte de bateaux suivait les côtes du Chili. Parmi eux se trouvait l'Ariane.Tout était calme quand tout à coup, une énorme tempête se leva et emporta loin du reste de la flotte l'Ariane. Le majestueux bateau traversa l'océan Pacifique à toute allure, poussé par les vagues. L'eau rentrait partout dans le navire, les vitres se brisaient, l'équipage s'affolait durant l'heure interminable que dura la tempête. Quand celle-ci s'arrêta enfin, le capitaine s'écria :"- Misère ! Dîtes moi si je me trompe matelot, mais nous sommes échoués sur une plage en plein détroit de Magellan ! "Tout l'équipage (mis à part le capitaine et l’équipe de repérage que celui-ci avait envoyé) se mit à l’œuvre pour réparer le navire comme il le pouvait : certains vidaient la cale remplie d'eau, d'autres réparaient les dégâts sur la coque ou fermaient les fenêtres avec des planches en bois. Mais tout le monde se demandait comment ils allaient faire pour remettre à l;eau le bateau échoué sur une plage, et surtout, s'ils y arrivaient, comment allaient ils traverser le détroit et ses flots légendaires."-Nous passerons la nuit dans la grotte que l'équipe que j'ai envoyée ce matin a trouvée," dit le capitaine de l'Ariane.Bercés par le bruit des vagues, tous dormaient à poings fermés.Tous, y compris le garde chargé de veiller.Quant l'équipage se réveilla, un étrange rocher bloquait l'entrée de la porte. Soudain, le rocher bougea. Il en sortit huit long tentacules : c'était une pieuvregéante ! Les prisonniers en avait parlé, mais personne ne les avait jamais crus. L’énorme pieuvre avait pris le capitaine et commençait à l'étrangler avec ses tentacules. Mais alors que tout le monde le croyait tout juste bon à donner des ordres et à rester dans une cabine à lire des cartes, le capitaine ne se laissa pas faire. Il réussit à sortir son fusil et à tirer dans la gueule du monstre.Tout l'équipage l'applaudit."-Ne nous réjouissons pas trop vite mes amis : les vagues ont emporté notre fier bateau," dit-il.Mais à ce moment là, un des bateau de la flotte apparut :"Enfin ! On vous a trouvés ! " cria l'un des soldats qui étaient sur le bateau.Tous les hommes montèrent à bord et le bateau traversa tant bien que mal le terrible Détroit de Magellan. Aujourd'hui, l'ancien capitaine de l'Ariane est amiral. Il fait partie des rares combattants de la seconde guerre mondiale à être encore en vie."-Dis pépé, ton histoire elle est vraie ? demandèrent les enfants.-Bien sûr, et j'en ai la preuve les enfants : j'ai servi pour l'Amérique, dans la flotte qui suivait les côtes du Chili. Mieux encore, j'ai servi dans l'Ariane."FINA. M.
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Il était une fois, un petit garçon du nom de Max ,il habitait à Paris près de la tour Eiffel, avec ses parents et son chien.
Max était blond, petit, timide et râleur et était au CE2.
Tous les jours il allait promener son chien sous la Tour Eiffel avec ses parents.
Aujourd'hui lundi, il va à l'école et est très content...
Une semaine après c'est les vacances.C'est l'anniversaire de Max.
Pour son anniversaire ses parents décide de l'emmener à Hawaï et de lui acheter un lapin.
Le grand jour arriva enfin ,ils vont partirent à Hawaï.
A.D.
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